Napoléon Bonaparte Tome 3 - E-book - Epub fixed layout

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Résumé

1799 - ou, comme on le dit alors, Vendémiaire an VIII : de retour d'Égypte, Bonaparte est accueilli triomphalement partout où il passe. Un moment décisif pour le général conquérant. Investi d'un flair politique exceptionnel, et tirant parti des faiblesses d'un système institutionnel à bout de souffle, Bonaparte met fin au Directoire avec le coup d'Etat du 18 brumaire. Une nouvelle organisation politique, le Consulat, prend les rênes du gouvernement de la France, prélude à une conquête du pouvoir encore plus radicale et à un règne personnalisé à l'extrême : l'Empire.Suite de la vie de Napoléon Bonaparte en bande dessinée.
Adossé à la rigueur d'écriture et au souci d'exactitude documentaire qui sous-tend toute l'oeuvre de Jacques Martin, ce troisième volet de l'évocation du plus célèbre personnage de l'Histoire de France s'étend du retour d'Egypte jusqu'à la naissance en 1811 du roi de Rome, héritier de Napoléon 1er. Un peu plus d'une décennie exceptionnelle par son intensité et sa richesse historique, évoquée avec passion par Torton (dessin) et Davoz (scénario).

Caractéristiques

  • Date de parution
    14/02/2014
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-203-08649-4
  • EAN
    9782203086494
  • Format
    Epub fixed layout
  • Nb. de pages
    48 pages
  • Caractéristiques du format Epub fixed layout
    • Pages
      48
    • Taille
      53 207 Ko
    • Protection num.
      Digital Watermarking

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À propos des auteurs

Né à Strasbourg en 1921, sous le signe de la Balance, Jacques Martin découvre très tôt la bande dessinée au travers des grands albums allongés de Buster Brown, par Richard F. Outcault, publiés chez Hachette. C'est au verso de ces pages qu'il fait ses premiers dessins ; la plupart représentant des avions (son père était aviateur) ou des personnages moyenâgeux. Cette passion pour le dessin naît en même temps qu'un goût immodéré pour l'Histoire.
Son enfance chaotique se passe à cultiver ces deux jardins secrets en travaillant sans relâche à la maîtrise des techniques du dessin et à l'apprentissage de sa science de prédilection. Désireux d'entrer aux Beaux-Arts, dans l'optique de faire du dessin un métier, il ne parvient toutefois pas à concrétiser pleinement ce rêve. En effet, sa mère et ses tuteurs officiels l'orientent d'autorité vers les Arts et Métiers, où il reçoit un enseignement purement technique.
Il en reconnaîtra lui-même plus tard l'utilité, contraint qu'il fut de se rompre aux rudiments de la perspective et de la descriptive. Cette première formation n'est sûrement pas étrangère à la rigueur obstinée dont Jacques Martin a fait preuve tout au long de son oeuvre et qui a probablement contribué à en faire l'un des trois principaux représentants de l'école dite « de Bruxelles », les deux autres étant Hergé et Jacobs bien sûr.
La critique a légitimement rapproché le travail de ces trois auteurs qui, en plus de s'être beaucoup fréquentés et d'avoir collaboré en maintes occasions, partagent un idéal artistique fait de réalisme, de probité et de minutie. Une demi génération sépare Jacques Martin de ses prestigieux aînés. Il ne commence à publier qu'à partir de 1946, dans l'hebdomadaire Bravo où il crée, un peu par hasard, Monsieur Barbichou.
Durant les trois années qui suivent, il multiplie les collaborations éphémères avec des publications bruxelloises et wallonnes conjuguant l'art de la bande dessinée et celui de l'illustration. Dans l'impossibilité de faire face à tous ses engagements, il se fait assister pour les décors et la mise en couleur de ses bandes dessinées par un graphiste nommée Leblicq. C'est de cette association que naît le pseudonyme Marleb, obtenu par contraction de Martin et de Leblicq.
Cette collaboration prend fin au bout d'un an, mais Jacques Martin n'en continue pas moins d'utiliser ce patronyme masqué. Jusqu'en 1948, il alterne les séries réalistes avec les séries humoristiques. Le premier récit à suivre, dessiné pour Bravo est Lamar, l'homme invisible qui s'apparente fort à Flash Gordon dont les aventures paraissaient également dans l'hebdomadaire. Dans la foulée, il crée Oeil de Perdrix, nouveau héros dont la première aventure, Le secret du Calumet fut directement publiée en album.
Vers la même époque, il signe encore une autre série humoristique dont la première histoire s'intitule Le Hibou gris et qui est prépubliée simultanément dans deux quotidiens belges. Reprise l'année suivante dans un hebdomadaire (Story), il lui donne une suite, Le Sept de Trèfle qui peut être considéré comme un premier brouillon de ce que sera La Grande Menace. Toujours dans ce même intervalle de temps, paraît La Cité fantastique, une bande dessinée ayant pour thème la guerre.
Dès 1946, Jacques Martin conçoit un projet de journal pour jeunes qu'il baptise Jaky. Malheureusement le numéro un de l'hebdomadaire Tintin est sur le point de sortir, réunissant une impressionnante brochette de grands auteurs. Jaky échoue au fond d'un tiroir. Tout en poursuivant ses collaborations à Bravo et à Story, Jacques Martin pose sa candidature au Journal de Tintin. C'est en 1948, qu'il crée le personnage d'Alix, le proposant aussitôt à Raymond Leblanc, futur directeur du Journal de Tintin.
Alix l'intrépide paraît en feuilleton dans le journal des 7 à 77 ans, à partir du 16 septembre 1948. En 1950, J Né à Neuilly sur Seine, Davoz est auteur compositeur, interprète et scénariste. Il fut sous contrat avec de prestigieuses maisons de disques en tant qu'auteur-compositeur. Son style musicale, dans les années 80, était « funky new wave ». Sans abandonner la musique, il devient scénariste BD dans les années 2000.
Ces scénarios sont soit totalement de fictions, le plus souvent d'aventures, soit résolument historiques. Son Napoléon Bonaparte en 4 tomes aux éditions Casterman est extrêmement documenté, et passe pour une référence aux yeux des spécialistes. Il alterne les prestations musicales avec son groupe de pop-rock « The Group », et la réalisation de BD. Lors des séances de dédicaces, il est également dessinateur.
Jean Torton est né à Ghlin en 1942 (Belgique). A partir de 1962, il commence à publier de nombreux récits historiques dans le magazine Tintin et travaille pour le studio Belvision (Astérix et Cléopâtre, Tintin et le Temple du Soleil,...). En 1978, il adopte le pseudonyme de Jéronaton et s'oriente vers la B. D. pour adulte (Champakou, Amazones,...).

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