Les aventures de Jhen Tome 17 - E-book - PDF

Le procès de Gilles de Rais

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Ayant outrepassé toutes les convenances, ayant bafoué l'Église et molesté publiquement un homme de foi, Gilles de Rais, est arrêté. Malgré ses... Lire la suite
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Résumé

Ayant outrepassé toutes les convenances, ayant bafoué l'Église et molesté publiquement un homme de foi, Gilles de Rais, est arrêté. Malgré ses nombreuses tentatives d'invocation, le diable reste sourd aux appels du seigneur de Tiffauges. Gilles se pense perdu. À moins que. pour sauver son ami d'un procès difficile, Jhen se lance à la recherche de la statuette de la vierge qui pleure, seule relique semblant permettre à Gilles de revenir dans le droit chemin.
Mais les heures passent et le procès avance.

Caractéristiques

  • Date de parution
    17/04/2019
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-203-19146-4
  • EAN
    9782203191464
  • Format
    PDF
  • Nb. de pages
    58 pages
  • Caractéristiques du format PDF
    • Pages
      58
    • Taille
      20 316 Ko
    • Protection num.
      Digital Watermarking

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À propos des auteurs

Né à Strasbourg en 1921, sous le signe de la Balance, Jacques Martin découvre très tôt la bande dessinée au travers des grands albums allongés de Buster Brown, par Richard F. Outcault, publiés chez Hachette. C'est au verso de ces pages qu'il fait ses premiers dessins ; la plupart représentant des avions (son père était aviateur) ou des personnages moyenâgeux. Cette passion pour le dessin naît en même temps qu'un goût immodéré pour l'Histoire.
Son enfance chaotique se passe à cultiver ces deux jardins secrets en travaillant sans relâche à la maîtrise des techniques du dessin et à l'apprentissage de sa science de prédilection. Désireux d'entrer aux Beaux-Arts, dans l'optique de faire du dessin un métier, il ne parvient toutefois pas à concrétiser pleinement ce rêve. En effet, sa mère et ses tuteurs officiels l'orientent d'autorité vers les Arts et Métiers, où il reçoit un enseignement purement technique.
Il en reconnaîtra lui-même plus tard l'utilité, contraint qu'il fut de se rompre aux rudiments de la perspective et de la descriptive. Cette première formation n'est sûrement pas étrangère à la rigueur obstinée dont Jacques Martin a fait preuve tout au long de son oeuvre et qui a probablement contribué à en faire l'un des trois principaux représentants de l'école dite « de Bruxelles », les deux autres étant Hergé et Jacobs bien sûr.
La critique a légitimement rapproché le travail de ces trois auteurs qui, en plus de s'être beaucoup fréquentés et d'avoir collaboré en maintes occasions, partagent un idéal artistique fait de réalisme, de probité et de minutie. Une demi génération sépare Jacques Martin de ses prestigieux aînés. Il ne commence à publier qu'à partir de 1946, dans l'hebdomadaire Bravo où il crée, un peu par hasard, Monsieur Barbichou.
Durant les trois années qui suivent, il multiplie les collaborations éphémères avec des publications bruxelloises et wallonnes conjuguant l'art de la bande dessinée et celui de l'illustration. Dans l'impossibilité de faire face à tous ses engagements, il se fait assister pour les décors et la mise en couleur de ses bandes dessinées par un graphiste nommée Leblicq. C'est de cette association que naît le pseudonyme Marleb, obtenu par contraction de Martin et de Leblicq.
Cette collaboration prend fin au bout d'un an, mais Jacques Martin n'en continue pas moins d'utiliser ce patronyme masqué. Jusqu'en 1948, il alterne les séries réalistes avec les séries humoristiques. Le premier récit à suivre, dessiné pour Bravo est Lamar, l'homme invisible qui s'apparente fort à Flash Gordon dont les aventures paraissaient également dans l'hebdomadaire. Dans la foulée, il crée Oeil de Perdrix, nouveau héros dont la première aventure, Le secret du Calumet fut directement publiée en album.
Vers la même époque, il signe encore une autre série humoristique dont la première histoire s'intitule Le Hibou gris et qui est prépubliée simultanément dans deux quotidiens belges. Reprise l'année suivante dans un hebdomadaire (Story), il lui donne une suite, Le Sept de Trèfle qui peut être considéré comme un premier brouillon de ce que sera La Grande Menace. Toujours dans ce même intervalle de temps, paraît La Cité fantastique, une bande dessinée ayant pour thème la guerre.
Dès 1946, Jacques Martin conçoit un projet de journal pour jeunes qu'il baptise Jaky. Malheureusement le numéro un de l'hebdomadaire Tintin est sur le point de sortir, réunissant une impressionnante brochette de grands auteurs. Jaky échoue au fond d'un tiroir. Tout en poursuivant ses collaborations à Bravo et à Story, Jacques Martin pose sa candidature au Journal de Tintin. C'est en 1948, qu'il crée le personnage d'Alix, le proposant aussitôt à Raymond Leblanc, futur directeur du Journal de Tintin.
Alix l'intrépide paraît en feuilleton dans le journal des 7 à 77 ans, à partir du 16 septembre 1948. En 1950, J Jean Pleyers est né en 1943 à Verviers. Son milieu familial (un père sculpteur, une mère musicienne) lui permet de développer son goût du dessin contracté très jeune. Il assure sa formation à Liège, puis assouvit sa passion du voyage : il dessine Pat le Guadeloupéen à Pointe-à-Pitre. Il dessine aussi deux Oncle Paul pour Spirou, quatre histoires dans Tintin, un western dans un quotidien bruxellois, Le Soir.
Aux Humanoïdes Associés, Jean Pleyers signe deux albums de science-fiction : L'exode (1982) et Le péril extrazorien (1984). Il a également publié aux éditions Deligne Les enragés de la peste blanche et West stories. Jacques Martin le choisit entre-temps pour dessiner l'histoire de Jhen, un jeune architecte lié d'amitié à Gilles de Rays qui sillonne l'Europe au gré des constructions à entreprendre.
Sous le nom de Xan, Jhen vit tout d'abord deux aventures publiées aux éditions du Lombard : L'or de la mort et Jehanne de France. En 1984, paraissent chez Casterman Les écorcheurs et Barbe-bleue, en 1985, La cathédrale, en 1986 Le Lys et l'ogre, en 1989 L'alchimiste et en 1990 Le secret des templiers. En octobre 98, Jehanne de France et L'or de la mort sont venus compléter cette collection. L'archange est paru en juin 2000. Néjib Belhadj Kacem dit Néjib, né en 1976 en Tunisie, est un auteur de bande dessinée franco-tunisien.
Néjib a suivi une formation de graphiste à l'École supérieure des arts décoratifs de Paris. Il publie en 2010 son premier livre pour enfants, L'Abécédaire zoométrique. Sa première bande dessinée Haddon Hall - Quand David inventa Bowie sort en 2012. Il est actuellement directeur artistique chez Casterman. Son dernier album, Stupor Mundi, figure dans les dix titres de la sélection officielle du Festival d'Angoulême 2017 retenus pour le Fauve d'or du meilleur album.

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