En cours de chargement...
Extrait :
Morsure du froid
Où l'oeil se pose
le soir laisse sa trace de solitude.
Quand je tire la couverture
j'enferme la nuit en mon lit
toutes étoiles confondues.
J'en appelle au calme du ventre
sur le trop-plein du monde.
J'ai chaud et froid
t'aimer répond à cet azur
qui n'arrête pas de m'appeler.
L'horizon distancie la marche.
L'air du large te ressemble
en bleu impertinent.