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Dans sa préface, Henri Denis, théologien de Lyon, expert au concile Vatican II, exprime avec chaleur et amitié son intérêt pour le livre et son auteur.
Sur un sujet pareil, la résurrection de la chair, il fallait trouver un ton, un ton juste. Il semble qu'Albert Boisson y soit parvenu. Son texte vivant et alerte respire la "connivence" avec ce qu'il y a de meilleur aujourd'hui dans l'Eglise.
Un de ses amis, prêtre, lui adressait ces paroles : "Tu as l'art d'écrire clairement, simplement, des chapitres courts.
J'apprécie que tu mêles ta vie à tes réflexions. Le dialogue avec ta fille aînée est un petit chef-d'œuvre... Tu fais partie de ces chrétiens concrets qui ont les pieds sur terre, ne séparant pas l'humain du divin."
Un appel aux chrétiens pour qu'ils osent dire librement leur foi pour les hommes et les femmes du XXIe siècle.
